Réduire l'empreinte écologique

Il s'agit d'un conte fantastique sur la façon dont les hommes et la nature peuvent travailler ensemble pour gérer la Terre. Dans ce cas, il s'agit de l'eau. L'histoire se déroule autour d'une petite zone avec un oued asséché, qui peut se transformer en torrent furieux lors de pluies torrentielles.
C'est l'aspect extérieur de l'histoire.
Ce qui importe aux collaborateurs de cette fiction, c'est que la nature elle-même ait son mot à dire. C'est déjà le cas ici et là dans le monde, mais les intérêts de la nature y sont représentés par des êtres humains.
C'est ce qu'on appelle le "Parlement des choses".
C'est là que réside le nœud du problème : si l'on parle vraiment à la nature, on ne communique pas avec des choses, mais avec une population multicolore de consciences.
Les êtres de la nature s'appellent ceux-là.
C'est ce que savent les peuples de la nature et, dans notre cas, ceux qui étudient l'anthroposophie.

L'histoire se déroule ensuite dans un éco-village isolé du nord-est des Pays-Bas. Ils se libèrent non seulement de l'oppression d'un gouvernement défaillant, mais ils aident aussi leurs voisins.

Le troisième roman décrit les visites de nos héros et les filles intelligentes Ilonka et Stefanie à des agriculteurs qui inventent leur propre voie dans la transition vers une agriculture durable.